LA FILLE DU VENT

Image d'introduction de l'album

Seiki Tsuno, le père de Yoko dans La Fille du Vent, travaille sur la maîtrise des typhons près de son l’île natale au Japon. Yoko est appelée en secret pour essayer de raisonner la bataille entre les faiseurs et les destructeurs de typhons.

C’est la première aventure où l’on retourne aux origines de Yoko à savoir le Japon. On en saura un peu plus aussi sur son enfance et sa famille.

Album paru en 1979.

La couverture du magazine

Date de sortie : 1979

Editions : Dupuis

ISBN : 2-8001-0633-6

Numéro Spirou : 2081 à 2100

C'est Super!
• Enfin, on commence à en connaître un peu plus sur la vie, la famille et l’enfance de Yoko.
• Cet album est encore une démonstration en matière technologique, bateaux militaires, avions expérimentaux, bathyscaphe etc…
C'est Bizarre!
Les interrogations!
• Il existe un simulateur de typhon, tornade, semblable à celui développé par Seiki Tsuno. Si quelqu’un a des renseignements à ce niveau…
• Le principe de destruction du typhon est-t-il réaliste ?

L'un de nos adhérents, le Grand Migrateur, nous précise la différence entre un paraplane et un parapente.
Un paraplane est un "vrai" parachute, conçu pour résister à l'ouverture à haute vitesse de chute. Un parapente, à l'inverse, est fait pour être déplié à l'arrêt et est gonflé par le vent relatif de la course de départ (quelques mètres suffisent); en revanche, il n'est pas conçu pour être ouvert en vol. D'une part, il ne possède pas de mécanisme d'ouverture et d'autre-part, la structure de la voile ne résisterait pas à une ouverture lors d'une chute à vitesse moyenne.
Nombre d'étoiles décernées par nos membres pour cet album Note 4.15
20 Vote(s) (Note exacte: 4.15/5)
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5 commentaires

  • Lucterios

    C’est avec cette histoire que j’ai fait la connaissance de Yoko, dans un recueil Spirou que l’on m’avait prêté. J’avais trouvé que c’était très bien dessiné et que l’histoire était passionnante. Ce fut une révélation. J’ai eu aussi le coup de foudre pour le Japon et c’est à cause de cela que je mange des sushis et que j’aime les décorations zen. J’ai adoré les engins et surtout la base sous-marine. Le personnage d’Aoki m’a aussi beaucoup ému. C’était ainsi que j’imaginais un samouraï. Son abnégation zen forçait aussi le respect. Et puis, on rencontre toute la famille de Yoko. Ce n’est pas si courant en B.D. de voir des héros ainsi humanisés.

  • Cherrydean

    J’ai beaucoup aimé La fille du vent. L’histoire d’Aoki et de son sacrifice m’a beaucoup touché. Tout ce que représente cet homme pour Yoko s’y dégage et on y entrevoit pour la première fois l’enfance de notre héroïne, sa famille, le lieu où elle a grandi. Pour ceux qui ont lu l’Écume de l’aube, c’est le moment de joindre le présent et le passé.

  • frac

    Il s’agit-là d’un des tous meilleurs albums ou, du moins, de l’un des trois ou quatre que j’aime le plus.
    Dépaysement, visite du Japon et de la famille de Yoko (et pas seulement en vague aperçu-figurants comme on peut le voir dans d’autres oeuvres), rencontre avec cette autre culture (surtout le côté moine boudhiste-jardin-Aoki-kyodo, pas le côté Kazuki), aventure à 100 à l’heure avec un rythme soutenu font de ce drame (car c’en est un) l’un des albums majeurs de la série.
    Le sacrifice d’Aoki, bien évidemment, avec tout ce que celui-ci représentait pour Yoko, la détresse de notre héroïne suite à la disparition de son ami et à l’aveuglement dû à l’explosion de la bombe nous la montre sous un jour de faiblesse comme on ne la revoit peut-être nulle part ailleurs, même dans la frontière de la vie où elle n’est “que” blessée physiquement.
    Du grand art.
    smiley
    frac
    En plus c’est ma couverture favorite.

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